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Cher/Chère ami(e).

Enfin, J'ai le temps de vous écrire. La situation sur le front centaure me laisse sceptique sur nos chances, mais pas de quoi être anxieux. C'est Keigarth qui vous apportera mes lettres, je le remercie pour cela. Les prochaines permissions ne sont pas à l'ordre du jour.

Sincères Salutations, votre obligé.

Henry Constantin.

Cher/Chère ami(e).

Enfin, J'ai le temps de vous écrire. La situation sur le front centaure me laisse sceptique sur nos chances, mais pas de quoi être anxieux. C'est Keigarth qui vous apportera mes lettres, je le remercie pour cela. Les prochaines permissions ne sont pas à l'ordre du jour.

Pour vous, Squirelle, votre obligé et sincère.

Henry Constantin.

Une semaine...une semaine et aucune nouvelle d'Henry.
Aucun contact via Communicateur, aucune lettre, rien.

Et alors que le GPS de la puce d'Henry était devenu sourd le matin même, c'est son écaille qui s'activa durant la fin d'apres midi.

Squirelle arriva en trompe dans l'auberge, le souffle court et la respiration en lambeaux en vous annonçant une terrible nouvelle :

Henry a besoin de vous, il vient de lancer un S.O.S via son écaille.

C'est tout ce qu'il vous faut pour suivre l’écureuil et partir vers le nord, suivant la "Bookah Map" qui vous guidera a votre destination.

Destination qui vous emportes a pas de course vers Harathis. Cette zone rappellera a certain d'entre vous des souvenirs. Le souvenir d'avoir été chercher Henry là bas, le souvenir...d'enfant traumatisé et mourant a petit feu sous le joug d'humains qui osaient s'appeler Séraphins.

Vous courrez, encore, encore et encore. Et la "Bookah Map" vous guides toujours plus au nord, vers un point fixe.
En arrivant dans cette contrée, vous voyez que tout semble calme, surement trop calme.
Aucune fumée, aucune odeur de brulé, aucun tir de trébuchet, aucun cri centaure.


La traversée de cette maudite contrée ce fait en courant et quand enfin vous êtes proches, quand enfin vous n'en pouvez plus, vous reprenez vos forces.
Et tous finissent par s'assoir, le besoin d'air et le besoin de repos est plus fort que tout.

Sauf...pour Squirelle. Qui se tourne vers vous, le souffle court et c'est elle, la cardiaque qui vous surpasses tous.
Et a nouveau la "Bookah Map" indique l'endroit que vous désirez tant. Lentement vous avancez, sur vos gardes, car après tout ce calme n'est pas normal.

Ce calme est...louche, le camp est vide, le camp ne porte aucune trace comme si il avait été laissé a l'abandon.
Vous êtes silencieux, vous avancez en faisant attention et au loin devant vous, vous apercevez des Colocals courant avec quelque chose dans leur gueule.

Quelque chose qui fait la taille de Sriska. Et tous fuient plus loin dans une petite allée.

L'odorat de Squirelle et d'Oesona seront les plus aiguisés, aiguisés pour sentir l'odeur...d'un charnier.
Voila ce que les Colocals avaient emportés : Des morceaux de corps.

Les corps pourrissent ici, au moins vingt corps, empilés les uns sur les autres.
Certains sont vieux, les fluides nécrotiques coulent sur le sol, les dépouilles sont gonflés et les insectes ont depuis longtemps fait leur demeure en ces nobles soldats.

Sriska fut mise a l'abri de cette vision d'horreur, Marr resta a ses côtés veillant a ce qu'elle ne voit pas cela, attirant ainsi son attention sur tout ce qu'il y avait autour d'eux.

Ce sont Oesona, Squirelle et Aryl qui plongèrent leurs mains dans le charnier, fouillant pour trouver l'écaille et...trouver Henry.
Mais la pêche ne fut pas bonne pour tous.

Squirelle récupéra une tête...sans corps, pourrissante et au visage pétrifié par la mort et la peur.
Aryl aura eut un tronc entre ses bras.
Oesona eut...l'écaille entre ses griffes.

Avec courage, la fouille commença mais...rien. Aucune vision effrayante d'un Henry mort.
Par contre c'est Sriska qui aura une vision, la vision d'oiseaux volant plus a l'ouest, elle fera même partagé cela a Marr.
Tandis que pendant ce temps des Colocals arrivés jusqu’à vous...Affamés et visiblement peu effrayés.

Malgré l'idée de leur offrir des cadavres en pâture, les prédateurs finiront par vouloir vous dévorez, après tout...vous êtes plus appétissant.
La fuite, il ne vous restes que cela, pourtant avant de partir Squirelle et Oesona auront mis le feu aux corps.

Et vous voila a courir loin de l'explosion, loin des charognards et votre fuite vous emmènes a la sortie du campement et c'est une musique qui attira votre attention.
Musique qui semblait provenir d'une tente.

Une lueur vacille depuis l'intérieur de la tente, dévoilant aux regards assidus des pièges sur tout le chemin.
Des pièges...sonore.

C'est Squirelle qui fit donner l'alerte et deux asuras sortirent de la tente. Deux frère plus précisément.
Les frères Fran et Ken de la coterie Stein.

Dans leur tente vous aurez découvert des bocaux.

Des bocaux contenant de multiples parties...de corps. Des yeux, des mains, des têtes, des bras, des jambes, des troncs.
Visiblement ils essayent de créer quelque chose.

Après un long, très, très, très long interrogatoire, vous apprendrez d'eux que les Séraphins morts sont passés par ici et ils étaient tous vivants, mais aucun ne correspondaient a la description faite par Squirelle.
Ils provenaient du Sud et sont partis vers l'est, la d’où vous veniez. (Et non pas de l'ouest, vive moi.)

Pour remercier Oesona d'avoir alimenter leur précieuse machine en éclair et d'avoir permis ainsi a leur création de prendre vie, Fran vient lui donner leur carte de téléportation.

A cause de la nuit qui plané deja sur vous, vous vous mirent d'accord pour partir a la première heure le lendemain a la Garnison de Shaemoor, avant poste le plus proche de l'endroit ou la puce d'Henry avait émit pour la dernière fois.
De retour a l'auberge, inquiet et un gout amer sur la langue, vous furent tous surpris quand un humain d'age encore fougueux entra dans l'auberge.

Keigarth, un ami d'Henry, il semblait paniqué, voir même effrayé et surtout essoufflé.
Mais entre ses mains...des lettres. Une pour chacun d'entre vous, toutes a vos noms pour les présents, visiblement Henry a pensé a chacun d'entre vous.

Chose étrange...Toutes sont identiques, pourtant...c'est bel et bien l'écriture d'Henry Constantin.
L'ami d'Henry et garde du Ministère expliquera que c'est Henry lui même qui lui a donné les lettres en main propre.

Il s'inquiètera a l'annonce de ces lettres si...étrange, si fausse. Surtout quand Squirelle prit celle destinée a Sigfrid et qu'elle y lut le même message que pour les autres.

Le Garde n'aura qu'un désir, vous aidez. Et Squirelle acceptera non sans...l'avoir pucé avant. Après tout, autant protéger ce pauvre Bougre.
Des que la Savante lui aura donné la permission, il partira en courant, manquant de trébucher, lui aussi voulait retrouvé son ami, surtout après l'affreuse découverte de savoir que tout les Séraphins d'Harathis étaient...morts.

En tout cas, le lendemain, il sera avec vous.

Garnison de Shaemoor :

La Garnison était étrangement calme a votre arrivée, vide de bien des soldats, c'est trois hommes qui attirèrent votre attention.
Par chance votre nombre vous permis de vous séparer.

Chacun d'entre vous partis a la rencontre des Gardes, vous permettant ainsi de découvrir...certains détails.
En accord avec l'idée de Squirelle, vous déclarèrent chercher un humain a l'épée de lumière qui avait dut passer par là et qu'il était un membre de votre guilde et que vous deviez le retrouver.

L'idée était simple et efficace, sauf que...le premier garde croulant sous des parchemins ne vit rien, n'y celui nourrissant les Dolyaks.
Seul celui au poste de Vigie donna une réponse favorable.

Effrayé et tremblant, il fallut la douceur de Squirelle et sa patience pour avoir la confiance du Garde, le Bougre semblait effrayait par quelque chose, chose qu'il raconte a Squirelle.
Il avait vue la bataille au camps plus a l'ouest, il avait vue la troupe d'archer se sinder en deux, ils revenaient a Shaemoor.

Le combat était deja finit, sans aucun doute. Surpris, le Séraphin regarda vers le camps et c'est la qu'il vit l'impensable, les archers restant...lancaient une salve de flèche DROIT sur leurs alliées !
Tout les soldats périrent...tous, sauf un.

Un qui possédait une arme étrange faite de lumière et d'or, de la chance ? Non.
Car a peine cette salve de flèche achevé, trois homme pénétrent le camp, l'un deux se détache et semble...parler avec votre ami.
Et puis plus rien, l'homme venait d'assommer Henry, l'emportant avec l'aide de ses complices.

Une fois dans le campement après dix minutes de marches, vous découvrez des Séraphins tout juste en poste.
Un aimable humain vous expliques qu'ils viennent d'arriver, qu'ils sont surpris par l'état du campement et que ceux présents ici sont partis a Harathis, il ne pourraient vous en dire plus.

De nouveau sur une piste qui n'avance pas, c'est le Communicateur de Squirelle qui s'anime.
Une sonnerie spécial se produit, une musique annoncant...une chose : L'alerte d'Henry.

Tout coincide maintenant.

La Lettre d'Henry qui vous soufflez le mot K.E.S.S.E.X et là, son GPS s'active non pas a la vallée, mais bel et bien à Kessex.

Grace a la carte de téléportation, vous arrivez a l'endroit désiré et apres quelques minutes vous y voila.
Un sol sec, sans trace, de l'argile, de la poussière...un camp Centaure vous fait face.

Un pont traversant un fossé et voila...une vision au gout de deja vue.


Et bien entendu, la "Bookah Map" vous indiques un emplacement, celui du charnier.

Vous traversez le campement, vous parlez entre vous. L'attention de Sriska est a nouveau portée sur autre chose que sur le tas de cadavre.
Et des mains habiles fouilleront a la recherche de l'objet tant désiré.

C'est Aryl qui attrapera un sac, un sac de tulle couvert de sang qui contenait :

Un pommeau d'or, une armure de plaque noir, une écharpe or et noir déchiré et en lambeaux. Une lettre écrite par les mains douces d'enfants et une fleur a la couleur ocre qui embaume la poudre et la chaleur.

Toutes les affaires d'Henry étaient là...Mais...et la puce ? Alors que Squirelle plongée ses mains dans le tas de cadavre, elle récupéra un morceau de chair et de peau...appartenant a une cheville. Et sur cette chair était accroché la puce...d'Henry.

L'attention de Sriska était porté sur son environement et c'est tout ce qu'il vous fallut pour avoir vent que quelque chose se passer.
Grace a la jeune asurette chacun d'entre vous eut le temps de se cacher des regards. Chance incroyable car deux gardes arrivés.

Deux hommes d'age moyen, de carrure moyenne et en armure Séraphins. Ils discutent :

"Donc...on se rejoint ce soir pour du whisky et des cigares ?"
"Ouaip. Oublie pas d'ramener le jeu de carte."
"Et prend des photos de ta Sœur !" Déclara une voix, mais...personne en vue.
"Gary ! Arrête d'passer derrière nous !" Le garde est visiblement surpris.

Votre instinct eut raison de vous gardez en sécurité derrière le bois de votre cachette, car a peine les deux gardes parties, deux autres font leur apparitions...en face de vous.

"Tu es sur...qu'on peut...faire ca ?"
" Mais ouais. T'crois qu'quoi ? Qu'il va nous tomber dessus ? Pff."
"T'as pas vue c'qu'il fait avec son fouet ! Un démon j'te dis ! "
" Calme toi, c'est pas un avatar non plus. "
Quelqu'un...tousse.
"VITE FUIT !!"
" Putain, Garry t'fais chié ! J'fallis faire tomber mon cigare."
"Z'etes trop facilement effrayable !" Une nouvelle fois....une voix mais personne en vue.

A nouveau cette fameuse voix sans corps, des pas sur le sol laisse des volutes de poussière et vous réussirez a les voir partir vers le fond du campement, vous etes a l’abri, mais vous l'entendez chanter.

" La haut sur la colline...Troue du cul champignon tabatière ! Il y avait un gros cuuuul ! Et c'était le Sergent ! Et c'était le sergeeeeeeeent !"

Alors que vous cherchiez un moyen d'avancer et d'en découvrir plus, vous tombez sur un étrange couple.
Un couple qui entre dans le camps et visiblement la femme veut participer plus tot a quelque chose.

Et cette chose...est...

Une vente d'humains...

Une Collection...

La collection.

Vous y voila enfin, enfin vous allez avoir vos réponses ou du moins...retrouver Henry.
Du moins, vous l’espérez.

Apres une nuit de repos, vous quittez tous l'auberge a l'Aube, direction Kessex.
Habillez par Marr qui travailla toute la nuit, chacun d'entre vous reçus une tenue fabuleuse du forgeron.

Quittant le confort rassurant de l'auberge, vous voila a prendre le point de passage et vous voila au campement.
Phoébé et Aryl les Nobles, Squirelle, Sriska, Marr et Oesona les Servants.

Les gardes viennent a votre rencontre et comme Myriam l'avait prédit en étant les premiers, vous avez les invitations restantes.
Bien sur, il fallut que vous montriez patte blanche a l'aide des Titres de Noblesse et de votre bonne tenue.

Une invitation en main, vous voila a prendre la route.

Mais dans le camps aucune trace du charnier, aucune trace de sang, et la terre est lisse et sans trace.
Le calme est de maitre et voila la porte qui vous guideras a la vérité.

Porte tenue par un garde qui vous laisses passer et durant trente longue minute vous marchez dans un couloir, un couloir de pierre et de roche ayant pour seul éclairage des torches.
Au bout de cette marche vous atteignez une porte tenue par deux gardes, chacun ont un oeil au beurre de noir.

Apres avoir vérifié vos invitations, ils vous ouvrent. Dévoilant a vos yeux un jardin a ciel ouvert et une immense demeure.
Des majordomes vous attendes et vous y voila.

A l'intérieur de la demeure, des serviteurs vous guides dans un petit salon, car il est trop tôt, beaucoup trop tôt.
Durant trois heures vous attendez.

Une clochette résonne, des serviteurs viennent vous cherchez en vous annoncant que c'est l'heure, la Collection va débuter.

Le long couloir est richement décoré, tableaux, statues, livres et...des rideaux qui couvrent d'étrange forme.
Une fois hors du couloir, une jeune femme apparait comme par enchantement a vos côtés.
Une peau d’albâtre, des yeux blancs mais non privé de vision, des cheveux blancs et des vêtements qui poursuivent cette couleur.
C'est visiblement un clone, car oui, il y a plusieurs jeunes femmes identiques qui se déplace d'un point a l'autre.

Toutes parlent, toutes marchent sans soucis, sans...empêcher leur créatrice qui se trouve plus loin, aux cotés d'un homme, un homme qui ne vous est pas inconnu.
Un homme qui était plus d'une fois venu voir Henry, un homme...qui la veille encore vous avez aidé.

Cet homme n'était autre que : Keigarth.

Il ne vous remarques pas, pas encore du moins, mais vous...vous oui.

Le Clone a vos côtés s'arrêtera pour saluer Myriam. Lui disant combien elle est heureuse de le revoir.
Un bruit résonne, un couteau frappant contre un verre, le silence ce fait parmis tout les invités.
Un silence profond et lourd, tous fixent le haut d'un escalier. Escalier ou montre la jeune femme blanche et Keigarth se posera au bas des escalier, empechant de sa carrure quiconque de monter.

L'homme est âgé a voir le début de ses rides au coin des yeux, surement la cinquantaine, ou alors la vie l'avait déjà trop usé.
Il impose quelque chose, quelque chose de puissant mais pas effrayant, comme si ca imposé le respect.
Son regard percant se rive sur l'assemblée comme si il regardait tous ceux présent, tous sans exception.

Il commencera a parler, déclarant d'une voix grave et étrangement bercante.

"Il y a ceux qui demandent pourquoi. A ceux-là, je réponds : Nous ne devons pas faillir. La Kryte est menacée et nul autre ne peut la sauver. La corruption et la lacheté l'ont prise à la gorge. Elle suffoque." Il parle et bouge légèrement sa main face a ceux qui l'écoute.

"Frappons ceux qui spolient notre mère. Pourfendons les ennemis de l'humanité, fussent-ils hommes ou bêtes. Reprenons la Kryte et rendons-lui sa place au panthéon. La Kryte a besoin de nous et nous ne l'abandonnerons pas." Dans sa main, un verre de vin, il n'a pas de couteau pour faire tinter le verre, mais une chevalière.

"Trop longtemps, nous avons été relégués aux dernières pages des contes pour enfants. A-t-on tous oublié comment Saul d'Alessio a repoussé les Charrs ? Comment l'ordre a succédé au chaos ? La vérité est si vite oubliée." Droit et fier, il ne bouge pas, aucun mouvement signifiant son malaise, non, il semble plus qu'a l'aise ou a sa place dans ce décor.

"Ils apprendront." Avec cette ultime phrase, il fait un pas en arrière, la jeune fille a ses côtés, elle sourit lui prend le bras et alors que la foule d'acheteur applaudit, il recule et quitte cette scene improvisée.

Et le spectacle commence.

Vous découvrirez alors six etres hors du commun.

La première : Une jeune femme dont la faculté semble de quitter son corps, restant en forme astrale dans une autre cellule, incapable de rejoindre son corps.
Le second : Un jeune homme capable de devenir celui qu'il regarde, imitant a merveille les mimiques de ceux qu'il désire.
Le troisième : Un homme au énorme lunette qui semble voir...loin, tres loin. Et chaque détail.

Tout trois seront achetés pour leur don, sauf la jeune fille. Elle...son avenir sera sans doute radieux.

La suite de la collection se passe a l'étage du dessous. Et de nouveau trois êtres vous sont proposés.

Le premier est une femme, une femme qui vous rappel quelqu'un, une femme habitué a l'auberge, une femme qui travailla chez les Veilleurs. Rey.
Muette mais capable de parler dans l'esprit des gens.

Le second...n'est autre qu'Henry. Votre Milicien préféré. La cheville en sang et les doigts tout aussi taché et tout aussi nue que Rey, il vous regarde, un soulagement sans nom balaye son ame. Le phénix sait qu'il est sauvé.

Le troisième...un dragon. Immense et rouge. Xender....Le métamorphe.
Il essaye de libéré son voisin, mais n'a pas de force, il laisse tomber sa grosse tête et vous regarde.

Alors que vous lancez les enchères prêt a avoir vos amis avec vous, la jeune Sriska aura vue quelque chose.
Sa vision de Sniper l'aida c'est certain, car elle vit bien Henry bouger ses doigts comme pour lui montrer quelque chose.
Et ça fonctionna, approchant et passant ainsi pour une enfant curieuse, Sriska laissera tomber de sa manche un pistolet.

Sans hésitation, la jeune et farouche guerrière tira dans un objet, un caisson noir.
Qui eut pour résultat...de libérer Xender.
Le dragon se libéra de l'emprise de cette cage, la brisant de son crane alors que vous aidez Rey et Henry.

Repoussant quelques gardes, Xender brisa le plafond de son dos. Il vous invita a grimper sur son dos et a vous la liberté.
Il vola sans se soucier du temps, n'y de ceux qui pourraient le voir, il alla aussitôt vers Pommeville.

Laissant derrière eux Keigarth.

Mais une fois au hameau tous reçurent les soins nécessaires. Mais...Myriam et Xender étaient ils les seuls a ressentir une profonde envie de vengeance ?

A vous de le dire.

Car vous le voyez dans leurs yeux, la trahison est vive, la douleur profonde et leur corps remplie d'épuisement.