Nouvelles fraiches.

[HRP] :

Donc, je vous proposes cet étrange évent pour Vendredi et Samedi !
Celui de Vendredi servira de mise en bouche, un petit début pour permettre au couche tôt de ne rien rater !

Rendez vous a 21h a l'auberge pour Vendredi !
Hésitez pas a vous retrouvez un peu plus tot pour voir ou apprendre quelque chose !

JE SERAIS LAAAAA !

Avec le beau...

Le magnifique...

Yarr !!! 

Yarr : Mais... mes brioches....

Présent! Soral, une charr encore inconnue du grand public, suivra le groupe néanmoins!

Très bonne introduction !

La musique colle bien avec le texte, qui ce dernier est progressif jusqu'à en arriver sur la phrase d'un certains humain à nous glacer le sang.
"Il arrive" ... Brrrrr!

Je serai présent avec Keigarth en tout cas !

Je serai présent aussi, une revenante cherchera des indices avec vous.

"Ca recommence ! Encore une fois ! Tout le monde nous abandonnes ! Privé des braves gens de leur travail honnête ça la Garde sait le faire ! Mais quand faut attraper un Tueur, la y a plus personne ! " S'exclame un honnête Pirate face a cette nouvelle découverte.

A l'aube ce matin, un petit groupe de brave Citoyen on fait la macabre découverte d'un corps, encore une fois un meurtre avait eut lieux.
La Victime est présumé âgé de vingt-six ans, ascendence Ascalonniene, le jeune homme aurait était attaqué ici même et son corps placé parmi les marchandises du Marché Indépendant.
Une mise en scène met le cadavre en position assise, tel un Prince sur un trône, des cheveux blonds ont été cousue au crâne de la jeune victime...de son vivant.

L'effroi et l'inquiétude laissent place a l'horreur quand les témoins du cadavre expliquèrent ce qu'ils firent.

"L'corps était dans un état ! Il avait plus de peau a ses bras ! Son ventre était vide ! Vide j'vous dis !" Explique un des témoins.
"Ses yeux aussi ! Y en avait plus ! C'était remplit d'ongle à la place !" Raconte son ami.

Et tout deux diront combien le visage du jeune homme était figé dans une expression de peur.

Encore une fois, notre Garde est impuissante face a ces morts inexpliqué ! Un tueur erre dans notre ville et personne ne fait rien ! Certains citoyens se barricadent, d'autres décident d'entamer des battus. Citoyens, ne sortez pas la nuit !

"Il a souffert, il y a un message dans ses meurtres ! Le Tueur a laisser un message : "Dites lui que j'arrive." Peut être que les mort s’arrêteront avec ce message dans le journal, nous l'espérons tous." Déclare le Porte-Parole de la Garde.

           Va dire a Tante Rhody.
                                                 Va dire a Tante Rhody.
                                                                                           Va dire a Tante Rhody.

Une odeur de pourriture vient titiller l'odorat d'une Nounou Skritt, curieuse et inquiète pour ses petits protégés, elle alla voir ce qui clocher.
Mais ce qu'elle découvrit fut...inimaginable, même pour un esprit Skritt.



           Va dire a Tante Rhody, que tout le monde est...
                                                                                                        Mort.

Trois caisses sont posés comme un présentoir, sur celle de gauche, un bouquet.

Un bouquet de...bras. Il y avait six bras et aucun n'était identique. Les ongles étaient manquant a chaque mains, les moignons sanglant des condes étaient protéger par une peau...une peau rajouter au dessus tel une protection pour empêcher ces "fleurs" de faner.

J'ai été élevé dans un troue sans fond.
                                                              Un prisonnier sans voix.
                                                                                                       Ils m'ont enfermé et prit mon âme.
Honte sur ce que vous avez fait.

Celle de droite était aussi posé un bouquet.

Un bouquet de...jambes. Toutes étaient différentes passant par différentes tailles et teintes de peaux. Les orteils étaient tous manquant, mais le sang avait été soigneusement épongé.
Eux aussi étaient recouvert a la chute du genoux d'une peau clair pour les protéger de cette perte sanguine.

Les deux bouquets sont maintenu non pas par un lien, mais par des intestins encore sanglant. (Merci Maman !)


Je l'appel et il viendra.
                                      Il répondra a lui comme si il était le seul.
                                                                                                         Ses bras tendus vers lui,
Mais quand il en aura finit,

                                             Il en sera démembré .



Et entre ces deux caisses, un cœur.

Un coeur humain au vue de la taille, sous celui-ci un mot écrit en lettre de sang :

"Un présent pour ton retour."




A chaque jours un journal, un jeune livreur de journaux vient déposer dans le doux Hameau de Pommeville, les nouvelles fraîches de l'Arche du Lion.
Le Journal fut déposer a la Boulangerie, a la Ferme Constantin, a l'Auberge, chez les Veilleurs, partout, comme d'habitude.

Et ce matin là, un jeune homme blond se figea en buvant un thé canthien, la douce tasse de porcelaine s'écrasa sur le sol, des Karkas vinrent se rouler dans le liquide tiède et d'une voix serrer et emplie de honte, il dira ces tristes mots :

"C'est...C'est...de- de...ma faute..."
 

C'est un asura d'une trentaine d'années qui prenait a chaque fois dans ses bras le jeune homme blond. La premiere fois, il en avait recracher ses viennoiseries sous la surprise. Depuis, il restait collé au jeune homme, tentant de la soutenir dans la moindre tache pour qu'il ne s'effondre pas. Veillant sur lui comme du lait sur le feu.

Yarr était inquiet, cela se voyait, pas inquiet pour le danger qui arrivait... mais inquiet pour Atropos.

....


De son coté, a l'Arche, un homme au cheveux dreadlocké et rouge lisé le journal en se disant :

" Sois ce mec est un total amateur... soit il veut juste se faire prendre... "

Aprés tout... il parle en connaissance de cause.

Sans un autre quartier de l'Arche, un asura a la voix de Crescerelle aura décide de FERMER BOUTIQUE. Non non non. Il ne veut pas risquer son immense génies dans des peccadilles soit disant artistique !!

Une montagne se dressait à l'horizon, un géant de métal étincelant, tout de fourrure recouvert sous son immense armure, agenouillant sa silhouette massive devant Atropos, dans l'unique but d'être à la même hauteur que l'humain.

Soral Fleurâme, Charr de son état, relativement peu connue des horizons, mais étant déjà passée à l'auberge, s'inquiétait pour Atropos, dont elle avait rejoint le groupe que Yarr et lui composaient à l'époque.

Elle était notamment intriguée par les réactions d'Atropos chaque fois qu'un article paraissait dans le journal sur le sujet de ces meurtres.
"Sa faute? Mais de quoi y parle?"

Keigarth consacre son temps à la maison depuis deux semaines, à être le plus présent possible pour sa compagne.
Ses rondes promenades à Almuten sont tranquille bien qu'un étrange et surprenant message lui soit parvenu d'une connaissance. Il en a parlé à Pandy, à Henry lors des passages de ce dernier à la maison et surtout à Lucius si lui aussi passait rendre visite a sa fille.

Les discussions des deux miliciens ont été riche en rire et en partage d'informations, d'où l'initiative d'Henry d'ajouter le domicile Delimor à la liste des maisons pour la distribution des journaux.

Cependant, l'ignorant justicier de Pommeville apprend les funestes nouvelles à l'Arche du Lion et les barbaries qui ont eu lieux. interpellé et inquiet, Keigarth n'a jamais vu de tels actes sanguinaires et demande à Henry s'il n'y avait rien eu à Pommeville, savoir tout le monde en sécurité. À Almuten, Keigarth ne s'est jamais senti à la fois aussi loin et aussi près de gens qui pourrait avoir besoin d'aide.

Ce n'est qu'au deuxième jour et triste début d'une série de meurtres que les deux hommes parleront de l'effet des mauvaises nouvelles sur Atropos, terrifié des retours des journaux de la ville portuaire.
Ainsi, Keigarth promit à Henry d'être prêt à intervenir quand son ami et chef aura besoin de renfort, et même avant.

A peine Atropos murmura ses mots, c'est un asura qui agrippa son bras, le regardant dans les yeux il laissera le silence faire son oeuvre, laissant Atropos se calmer avant de glisser sa main dans la sienne.

" Je vais avec toi. "

Il est resté à l'Arche du Lion bien après le retour du groupe à Pommeville. Keigarth a marché un moment dans le quartier du Commodore, seul pendant deux longues heures, animé d'une colère aussi intense et grande que sa tristesse : Comment de telles choses pouvaient-elles se produire ? Un monde de fous, oui.. a-t-il pensé après les propos de Sriska, peu de temps après la séparation du groupe suite à un choix aussi risqué qu'absurde du gardien.

Sa rage aveuglante a laissé place à la raison, l'inquiétude; il devait rentrer pour sa compagne, qui est toujours présente et en sécurité chez eux. Le preux chevalier de Pommeville a renoncé pour un court temps à son devoir. il a pris plusieurs chemins différents, évitant au maximum de prendre de itinéraires directs avec Pommeville.

Il est rentré chez lui vers le milieu de la nuit, épuisé, encore sous le choc de cette première recherche infructueuse.


Le lendemain, Keigarth se réveilla d'un sommeil agité, sans repos, oppressant. Il s'occupa du repas le matin, de deux trois choses à la maison et attendit le réveil de sa douce sur la chaise de la table, pensif.

Il repèterait autant de fois les recherches que nécessaire, jusqu’à ce que le meurtrier paye pour ses crimes.

La Voix du Lion sera livré dans tout l'Arche du Lion,  Pommeville et ses alentours.


Mais déjà vous savez tous, ce qu'il y est inscrit dans le journal. Une jeune femme retrouvée morte de ses blessures après bien des heures de tortures.



Tel un ange retournant auprès de Dwayna.


A Pommeville, le chien Duke continue d'aboyer en observant les Pommiers, Drakou le familier d'Alaeta grogne et siffle vers les Pommiers.

Visiblement, les animaux ont de drôles de réaction depuis hier.

C'était...


En observant le ciel bleu, ses yeux a la couleur identique se perdent dans l'étendu immense ou des moutons de coton dansent au grès du vent.

Un poids et une peur sans cesse vivante en lui venait de disparaitre.

Mort, il était mort et ne reviendrait pas.

Ce monstre, ce Norn qui avait volé tout son enfance, toute sa jeunesse, enfin il était mort.
Il pouvait enfin retourner a sa maison. Retourner dans cette vieille battisse et offrir une sépulture descente a sa Mère et sa jeune et minuscule petite Sœur.

Dans cette victoire, il avait retrouvé sa Tante, une vieille femme en possession d'un fragment de pierre de sang et qui semblait visiblement usé de son pouvoir pour continuer a vivre...éternellement.

La vie était drôle, il avait fallut une mort pour retrouver une vie. Mais a quel prix ?

Bien des Héros de cette histoire furent perdu, traumatiser par ce cauchemar.

Keigarth avait du achever une jeune femme victime de ce Norn fou.
Sriska avait vue trop de chose pour son jeune âge.

Tout était si...cauchemardesque, était il fou depuis le début ? Ou la pierre de sang avait fait son oeuvre en lui ?
Dur de répondre a cela.

C'était si effroyable de voir tant d'innocent mourir gratuitement, juste parce qu'il ne voulait qu'une chose : Atropos.

Le jeune humain aurait a supporter cette faute, ce poids toute sa vie. Il n'était pas coupable, c'est vrai.
Mais c'était a cause de lui, pour lui, ces tueries.

Pourtant aujourd'hui encore, les gros titres de la Voix du Lion ne seront que sur une chose :


Tant d'innocent étaient sauvés, mais vous...qui penserez vos plaies ?

Qui chassera ces images de vos têtes ? Personne, juste vous, vous tous, cette famille qui vous rends vivants et soudés.
Une page se tourne et une autre commence.

Atropos est libre, il vivra durant bien des années ainsi a apprendre, rire, pleurer et aimer. Il mourra sans aucun doute un jours.
Et vous tous aussi, mais vous verrez encore bien des choses, des choses incroyables, peut être pire, mais vous, savez que rien ne sera pire que ce fou.

Pourtant dans les Brumes se fut autrement, la mort accueillit le Monstre, les brumes emportèrent son esprit vers les douceurs de l'éternité.
Mais contrairement a une vieille asura ivre de rédemption et d'une seconde chance, lui, apparut devant une horde d'asura.

Un Norn face a des asuras, étrange non ?
Non, pas du tout. Pas quand l'enfant qui passa sa vie a subir les châtiments de ce monstre est l'amant d'un Père possédant une cité d'or et de magie.

Alors, non, non ce n'est pas étrange quand le sourire de cet asura grandit et qu'un canon de pur magie se calibre sur ces esprits pourris jusqu’à la moelle.
Donc, non. Ce n'est pas étrange que l'esprit se fasse désintégrer et que même dans mille ans, il ne restera rien de lui.

C'était finit.

Les Monstres ne peuvent pas vivre éternellement.
Et la paix, la vie, l'amour finissent toujours par sortir des cendres.